[amaʀøz] n. f.
〖美〗
1. « Ouvrière de plantation chargée de lier les cannes à sucre en bottes. » 负责捆扎甘蔗的女工。
v. amarrer
〖美〗 Antilles (Guadeloupe, Martinique)【安的列斯群岛:瓜德罗普,马提尼克】
1) Martinique « De un, ‘les coupeurs’, qui sectionnaient les cannes avec des machettes de vingt-quatre pouces. De deux, derrière ces hommes qui œuvraient comme des machines, […], il y avait la gent féminine que l’on nommait ‘les amarreuses’ […]. Le boulot d’une amarreuse consistait à assembler les cannes de ‘son coupeur’, puis à former des piles et à les attacher serrées avec les feuillages que le coupeur avait sectionnés […]. » [Sadikalay 2015] 其中一部分人,“切割工人”,就是拿着二十四英寸长的大刀砍甘蔗的人。在这些像机器一样工作的男人身后,是被大家称作amarreuse的女人……她们的工作就是将切割工处理好的甘蔗收集并堆放起来,然后用切割工切下的叶子将它们紧紧捆扎起来……
| Origine |
|---|
| Innovation lexématique à partir du français des Antilles : dérivé suffixal d’amarrer au sens de « lier, attacher », suffixe –euse. |
| Observation |
|---|
| Il s’agit de l’une des professions spécifiques du domaine de la plantation de la canne à sucre dans les Antilles qui est disparue aujourd’hui mais qui se reflète souvent dans la littérature antillaise francophone.【该词指代一种甘蔗种植业里的特有工种,现已消失,但在安的列斯群岛文学作品中时有体现。】 |
Citat. 1 Sadikalay, Lambert, Itinéraires et mémoires d’un enfant modeste, Paris, Société des écrivains, 2015, p. 108.